« EL CAMINO »

Tout heureuse de folâtrer au sein de la citadelle natale de trois de ses acolytes, La Faction a couronné de nouveau sa sinécure de baladin dans une gargote des plus agréables. Cette attachante cambuse en a donné de sa souillarde pour nous réceptionner dans les dispositions les plus bonifiées.

En cette nuitée estivale, nos bien précieux amphitryons de Five(O), ont déployé – y compris dans sa variante Loudzo – un décorum pour le moins abracadabrant ; scarifiant de part en part du prétoire, une excavation sonore parfaitement inexorable dans son impétuosité. Ô gué ! La virilité perforante de ces margoulins hors pair a laissé l’assistance, comme d’aucuns accréditeraient, dans une athymie permettant à peine à certains de se décramponner dans de populeuses coprolalies.

Après l’auguste procession de ces palpitants boucaniers larvicides, nous redoutions de paraître pour des aigrefins, tout bélître que nous sommes. Mais nous ne nous sommes pas fait prendre pour des mendigots tâte-vin en gueuseries de tout acabit… En dépit d’infortunes foncières pour votre serviteur (un seul fût en place mais essentiellement extermination du pied de la grosse caisse dès la seconde turlurette), nous avons à notre tour mortaisé comme il se devait.

L’assortiment de litanies que nous avons pu interpréter a enorgueilli l’ensemble de la piétaille qui fût tentée par gambiller quelque peu. L’omnipotence des mouvements de nos différentes cantilènes a annihilé les dernières présomptions de dandysme, d’emphase ou de fatuité. La jactance semblait cousiner et corrobore la majesté de notre fantasmagorie ainsi exhibée.

La confrérie dipsomane des pousse-au-crime souscrivant notre circumnavigation éthylique, a été incriminée dans des barateries poussant certains aux vomissures et déjections d’immondices dans une darse de Caen dira-t-on.

Le barbouilleur Barbouze, Bastide bastion abolisseur des belvédères babyloniens.